Rexel réalise avec succès sa première émission d’obligations durables
Rexel lie son financement à l’atteinte d’objectifs de réduction de ses émissions directes et indirectes.
Afin de renforcer son engagement à réduire ses émissions de gaz à effet de serre, Rexel a réalisé avec succès le 27 avril 2021 une émission d’obligations durables (Sustainability-Linked Bonds), pour un montant de 300 millions d’euros, liée à l’atteinte d’objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
Rexel a obtenu le meilleur taux d’intérêt de son histoire, à 2,125 %, qui sera augmenté de 25 points de base dès juin 2024 si le Groupe n’a pas respecté fin 2023 les objectifs intermédiaires dont la pertinence et l’ambition ont été évaluées « advanced » par l’expert RSE indépendant Vigeo Eiris :
- Réduction de 23 % des émissions de GES liées à la consommation des produits vendus, par euro de chiffre d’affaires (scope 3) d’ici 2023 par rapport à 2016 ;
- Réduction de 23,7 % des émissions de GES liées à la consommation d’énergie dans ses opérations (scopes 1 et 2) d’ici 2023 par rapport à 2016.
Le succès de cette émission obligataire durable, confirmant la confiance des investisseurs dans les engagements de Rexel et sa détermination à continuellement améliorer sa performance environnementale, a conduit le Groupe à émettre un abondement de 100 millions d’euros d’obligations supplémentaires le 7 mai 2021.
Engagements 2030
Ces émissions d’obligations durables s’inscrivent dans une dynamique globale d’engagements climatiques sur le long terme. En effet, Rexel s’est fixé pour 2030 des objectifs en ligne avec l’Accord de Paris sur le changement climatique, validés par l’initiative Science Based Targets (SBTi) et visant à participer à la limitation du réchauffement climatique en deçà de +2°C d’ici la fin du siècle.
Le Groupe s’engage notamment à :
- Réduire de 35 % ses émissions de GES liées à la consommation d’énergie des opérations du Groupe (scopes 1 et 2) d’ici 2030, par rapport à 2016
- Réduire de 45 % ses émissions de GES liées à l’utilisation des produits vendus, par euro de chiffre d’affaires (scope 3) d’ici 2020, par rapport à 2016.